Le nu est au dessinateur ce que la gamme est au pianiste. Au travail ! Des majeures, des mineures, des qu'on monte, des qu'on descend (non, non, ne tirez pas sur le modèle). Des en blanches, des en noires, des en croches, des en rondes très lentes, des en lentes très rondes.
Ces dessins de 2006 montrent des nus perspectivistes : tout dépend de quel point de vue on se place ! L'une, c'est le pied, l'autre c'est l'aile ou la cuisse.
Lors des conférences - vernissages d'Hubert Le Menestrel en 2006, étaient exposés deux séries de nus d'importance, la série "Rebecca" et la série "Annabelle" ; malheureusement, ces dessins ont pratiquement tous été vendus. Cela reflète l'important pouvoir érectogène des modèles concernés.
Si les nus de cette page vous laissent sur votre faim, vous pouvez quitter l'ensemble de la phénoménologie du boudin, et consulter soit les dessins antérieurs (nus de l'exposition 2002), soit au contraire les nus plus récents.